Repository logo
  • English
  • Čeština
  • Deutsch
  • Español
  • Français
  • Gàidhlig
  • Latviešu
  • Magyar
  • Nederlands
  • Português
  • Português do Brasil
  • Suomi
  • Log In
    New user? Click here to register. Have you forgotten your password?
Repository logo
  • Communities & Collections
  • All of DSpace
  • English
  • Čeština
  • Deutsch
  • Español
  • Français
  • Gàidhlig
  • Latviešu
  • Magyar
  • Nederlands
  • Português
  • Português do Brasil
  • Suomi
  • Log In
    New user? Click here to register. Have you forgotten your password?
  1. Home
  2. Browse by Author

Browsing by Author "Araar Djahida"

  • 0-9
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
  • F
  • G
  • H
  • I
  • J
  • K
  • L
  • M
  • N
  • O
  • P
  • Q
  • R
  • S
  • T
  • U
  • V
  • W
  • X
  • Y
  • Z
Results Per Page
Sort Options
  • Item
    Les pratiques langagières déclarées des juristes pendant la représentation de leurs institutions devant les autorités judiciaires et administratives.
    (Université Chadli Ben Djedid d’El-Tarf, 2019) Araar Djahida
    Notre travail qui s’inscrit dans le domaine de la sociolinguistique s’intéresse aux pratiques langagières des juristes devant les autorités judicaires et administratives. Nous voulons expliquer pourquoi ces pratiques varient-elles d’une autorité à une autre. Nos données collectées à partir d’un entretien semi-directif nous a permis de décrire ces pratiques langagières dont l’arabe classique, l’arabe dialectal et le français font partie. Mais le statut de ces langues se diffère d’une autorité à une autre. Devant les autorités judiciaires, les juristes utilisent l’arabe classique vu que cette langue est imposée implicitement par le cadre professionnel au moment où ils se sentent intérieurement l’interdiction du français puisque la première est la langue du pouvoir. Toutefois devant les autorités administratives qui n’imposent pas une langue particulière, les juristes utilisent le français comme langue favorable. Ces autorités représentent un lieu conflictuel des langues. Entre sentiment d’interdiction et choix favorisé, le français a une place dans les pratiques langagières des juristes sous l’effet d’une nécessite communicationnelle ou professionnelle.

DSpace software copyright © 2002-2025 LYRASIS

  • Cookie settings
  • Privacy policy
  • End User Agreement
  • Send Feedback